Le secret d’un ABDL et d’un amour qui naît

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il y a 9 ans

Le secret d’un ABDL et d’un amour qui naît

Las d’un monde de brutes, de tensions professionnelles extrêmes, Paul a ressorti ses couches et les quelques vêtements qu’il avait achetés par le passé. Un impérieux besoin de douceur le submergeait, c’est dans l’ABDL qu’il parvient à se décontracter un peu, à lâcher prise. Muré dans la solitude de sa maison cossue, il déambule en couche avec un body délavé comme compagnon.

« J’ai besoin de compagnie, j’ai besoin de donner de l’amour et d’en recevoir, comment faire pour parvenir à trouver la fille de mes rêves ? La fille que je pourrai aimer mais aussi choyer avec tout ce fric que je gagne pour rien, si ce n’est que pour être toujours seul dans mon Audi». Pense Paul lors de cette soirée de déprime.

Une pensé pour ses parents disparus bien trop tôt pour avoir croisé un prédateur de la route le met au bord des larmes. Les images des familles d’accueil achèvent son moral déjà mal en point. C’est en regardant un reportage sur les refuges animaliers que l’idée de se rendre utile en donnant de l’amour lui vient, c’est décidé, le lendemain il irait à la SPA voir ce qu’il peut faire pour les aider. En quelques clics sur son ordinateur dernière cri, il trouve un refuge à deux pas de chez lui, promis, ce week-end je ferai une bonne action et je donnerai de ce trop plein d’amour aux animaux puisque les femmes n’en veulent pas.

SAMEDI 22 DÉCEMBRE 9 HEURES

Son Audi S5 Sportback dénote un peu dans le parking de la battisse ancienne du refuge,elle est garée devant de vieux grillages et tôles rouillées. Il est soudain gêné.

  • Bonjour, vous avez perdu un animal de compagnie ?

  • Non, je n’en ai pas, je suis venu pour voir comment je pourrai vous aider ! Répond Paul en tendant la main.

Très étonnée, Pauline s’interroge avant de répondre, comment un homme en costume aussi classe et avec une aussi belle voiture peut vouloir l’aider autrement que par un don ?

  • Si vous désirez faire un don, cela nous aidera beaucoup car nos installations sont plus que délabrées et la nourriture coûte très cher sans parler des vétérinaires même s’il nous font des prix.

  • Je peux effectivement faire un don mais c’est n’est pas de cette aide dont je parlais. J’ai besoin d’autre chose que de faire un chèque. Je veux me rendre utile et donner de l’amour. Répond Paul un peu gêné de cet aveu.

Le sixième sens de Pauline lui permet de déceler de la tristesse dans le regard de Paul, son cœur lui crie de le laisser entrer. Elle lui propose de visiter les lieux, commente chaque cage, décrit les races, les soucis des chats en les appelant par leur nom. Les voir se frotter contre les grillages en recherche d’attention et d’amour fend le coeur de Paul qui s’aventure à passer ses doigts entre les grilles des portes. Le fait que les chats ne lui fuient pas apparaît aussitôt comme un signe pour Pauline, cet homme doit être bon.

SAMEDI 22 DECEMBRE 11 HEURES

Pauline a envoyé Paul se changer, c’est décidé il va l’aider à reconstruire l’aile sud qui s’est effondrée lors de la tempête. Pour le moment, il déplace les planches et poutres, découpe les grillages pour faire la place propre. Acharné dans ce travail, il ne voit pas passer le temps, il est douze heures trente lorsqu’elle revient le voir et découvre qu’il est un travailleur particulièrement motivé.

  • Il est peut-être temps de faire une pause pour déjeuner qu’en pensez-vous ?

  • Oups pardon, je n’avais pas vu l’heure. Je vous invite à déjeuner ? Propose Paul en sueur.

  • C’est gentil, merci mais nous allons faire l’inverse, c’est moi qui vous invite. Ce sera à la fortune du pot, poulet frites et salade si cela vous convient.

  • Mais je n’ai rien emmené, même pas une bouteille, je peux aller faire quelques courses si vous le désirez.

  • Vous avez emmené vos bras et votre sourire, c’est déjà beaucoup ici. Suivez-moi, je vous montre le chemin.

SAMEDI 22 DECEMBRE 14 HEURES

Pendant le déjeuner, ils se sont un peu découverts lors des discussions. Il ne sait pas pourquoi mais il ressent quelque chose pour cette femme âgée de cinquante ans, le magnétisme de Pauline et la douceur de sa voix ne sont pas étrangers à cette attirance.

  • Pauline, j’ai une proposition à vous faire mais il faudrait que vous m’accordiez une heure.

  • Une proposition malhonnête ou pas, demande Pauline aussitôt sur la méfiance.

  • Cent pour cent honnête, mais il faut que vous veniez avec moi. Je vous jure que nous serons de retour dans une heure et que vous ne le regretterez pas, tout comme les chatons qui se gèlent dans l’aile nord.

Le père Noël, pour Pauline Paul est le père Noë, quand ils sortent du magasin de bricolage dont il est le patron, tout comme des trois autres magasins dans la région. Il vient de lui offrir un chalet de loisirs en bois de quasiment cinquante mètres carré ! La facture est au nom du refuge et la livraison est pour le jour même. Elle pleure de joie, manque de mots pour le remercier l’embrasse trois fois de suite entre deux crises de larmes.

SAMEDI 22 DECEMBRE 20 HEURES

  • Vous voulez quoi en échange de tout cela Paul, je suis très gênée par tant de gentillesse et de générosité.

  • Que vous acceptiez de dîner avec moi ce soir au restaurant. Faites-vous belle pendant que, je vais voir les chats, nous passerons chez moi pour que je me change et nous irons en ville manger chez mon ami du Poséidon.

SAMEDI 22 DECEMBRE 20 HEURES 30 GROSSE PEUR

Vêtue d’une de ses rares folies, une magnifique robe de soirée achetée pour un réveillon, Pauline découvre la maison de Maître de son généreux donateur. Elle est un peu écrasée par la richesse des lieux et découvre le body délavé et une couche Crinklz sur le canapé du salon. Paul avait oublié de les ranger en partant. Vêtu de son plus beau costume, lorsqu’il la rejoint, il devient blême en découvrant son oublie. Comment justifier le body délavé et une couche Crinklz sur son canapé ? ? ?

  • Que vous arrive-t-il Paul, vous êtes blanc comme un linge, un souci ?

  • .......

  • C’est ça qui vous pose problème dit-elle en montrant la couche ? Si vous souffrez d’incontinence, il ne faut pas en avoir honte, ma soeur plus âgée que moi a aussi des soucis. Je sais ce que cela représente comme nuisance et gêne.

  • Je vous remercie de votre compréhension Pauline, et si nous allions dîner ? Demande Paul en reprenant ses esprits.

SAMEDI 22 DECEMBRE 21 HEURES

Confortablement installés au Poséidon, face au gigantesque aquarium, ils discutent de chose et d’autres lorsque le patron vient les saluer. Pauline sent aussitôt une grande complicité entre eux, et pour cause, Paul est actionnaire à hauteur de quarante pourcent des parts de la société. Lors des échanges cordiaux, il est décidé de conserver les déchets des poissons pour alimenter les chats du refuge. La seule condition est que Pauline vienne tous les matins les récupérer en cas de contrôle de l’hygiène.

C’est entre la poire et le fromage, que Pauline revient sur sa découverte dans le salon de Paul. Elle le travaille un peu sur le sujet avec sa douce voix et ses yeux envoûtants. Quand quelque chose la chagrine, elle perce l’abcès rapidement, c’est sa façon d’être et de faire. Lui qui est capable d’affronter une réunion syndicale et les banquiers est à nouveau blême, elle sait qu’il lui cache quelque chose, elle veut savoir.

L’inquisitrice de sa pudeur pose sa main sur la sienne et lui dit : « Paul, je sens une souffrance en vous, parlez-moi, je peux tout entendre ».

  • Je ne peux pas, vous allez me rejeter. Répond Paul les larmes aux yeux.

  • Ne me dites pas que vous mangez des chats ou je vous griffe ! Répond Pauline essayant de décontracter l’atmosphère.

  • Je suis très gêné.

  • Je l’étais aussi aujourd’hui face à votre générosité d’âme, mais je vous ai fait confiance. C’est à votre tour de me faire confiance.

Paul en totale perdition psychologique se lâche et lui dévoile tout. Il lui explique le sentiment d’abandon qui a été le sien quand ses parents ont disparu à cause d’un prédateur de la route. Il lui dévoile l’incontinence passagère qui a été la sienne suite à ce drame, le refuge qui est devenu le sien en mettant des couches et des tenues de bébé pour adulte quand il est seul chez lui. Il lui parle aussi de son cruel manque d’amour, de sa timidité face aux femmes puis de son complexe à propos de son visage ingrat. Pauline l’écoute, le laisse vider son sac sans jamais lâcher sa main.

  • C’est à mon tour de vous parler mais sachez avant toute chose que rien ne me gêne dans ce que vous venez de me dire. Vous pouvez mettre autant de couches que vous voulez, je m’en moque, le principal est que vous soyez heureux, vous le méritez.

Le silence s’installe, leurs regards se croisent, leurs yeux se sondent.

  • Je vais vous parler de moi à mon tour si vous me le permettez. J’ai perdu mon bébé à la naissance. Quand j’ai appris que j’étais devenue stérile et que le géniteur me quittait, j’ai sombré dans la dépression. Les chats m’ont sauvée. Deux ans de thérapie plus tard, j’ai créé le refuge mais j’ai gardé la chambre de mon bébé. Tout comme vous, je manque aussi d’amour, de tendresse, de douceur. J’en ai des tonnes à revendre, les seuls hommes que j’ai rencontrés ne s’intéressent qu’au sexe. Cela ne m’intéresse pas, j’en garde un trop mauvais souvenir.

Pauline fond en larmes à son tour, Paul retire sa main pour la reposer à son tour sur la sienne dans un geste protecteur. Le silence de cet échange vaut pour tous deux son pesant d’or sur l’acceptation des valises de souffrances de l’autre.

A la fin du dîner, le patron du Poséidon vient leur indiquer qu’un sac de nourriture a été déposé à côté de la voiture de Paul. Il leur offre un digestif puis leur souhaite une bonne soirée. A ces mots, Pauline et Paul se regardent, quelque chose d’indescriptible se passe mais c’est comme s’ils décidaient de faire fusionner leurs âmes et leurs misères.

SAMEDI 22 DECEMBRE MINUIT

  • J’ai un peu trop bu pour conduire jusqu’à chez vous, acceptez-vous de dormir à la maison en tout bien tout honneur. Je vous ramène demain matin et viendrai finir l’installation du chalet.

  • Oui j’accepte mais à une condition.

  • Laquelle ?

  • Acceptez-vous que je vous mette votre couche et vous face un câlin en tout bien tout honneur ? Cela me permettra de rêver, cela vous permettra aussi de rêver à cette jeunesse anéantie et dont vous avez été privé.

DIMANCHE 22 DECEMBRE UNE HEURE DU MATIN

Paul est étendu sur le canapé et sur les genoux de Pauline. Il porte son body délavé et une couche Crinklz en tétant le sein de Pauline comme un vrai bébé. Elle pleure à chaudes larmes tout comme lui qui finira par s’endormir sur sa poitrine.

MARDI 24 DECEMBRE MINUIT CHEZ PAULINE

Le chalet est installé, Paul est couché dans son body délavé et dort en couche contre Pauline éveillée et trop heureuse de lui caresser les cheveux du bout d’un doigt.

Tolerare

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